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Porte-parole adjointe du chef de l’Etat : « La démarche parallèle de la Cenco et de l’ECC à celle du chef de l’Etat, auprès des acteurs n’engage qu’elles »

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La porte-parole adjointe du chef de l’État, Tina Salama, a fait savoir à l’opinion publique le lundi 23 novembre, dans la soirée, que la démarche parallèle des consultations auprès des acteurs politiques par les évêques catholiques et de l’Eglise du Christ au Congo (ECC) n’engage pas le chef de l’État Félix Tshisekedi.

« Nous avons été surpris de les voir entreprendre une démarche parallèle pour aller consulter ou voir les uns et les autres », ajoute-t-elle, alors que Félix Tshisekedi « a tenu à consulter lui-même », a fait savoir Tina Salama.


Tina Salama, porte-parole adjointe du chef de l’État

La porte-parole du chef de l’État rappelle que la politesse voudrait que quand le chef de l’Etat lance des consultations nationales, inclusives, où il invite tout le monde, il serait sage de le laisser finir avant de faire une démarche parallèle.

Il sied de rappeler que les évêques de la Commission épiscopale nationale du Congo (Cenco) et de l’Eglise du Christ au Congo ont entrepris des consultations auprès de certains acteurs politiques notamment Joseph Kabila et Martin Fayulu. Hier, les délégués de l’ECC ont échangé avec le président de la chambre haute du parlement, Alexis Tambwe Mwamba.

Selon Tina Salama, après ces consultations, le chef de l’Etat va prendre le temps de compiler toutes les propositions lui faites et il reviendra, comme promis dans son dernier discours, auprès de la population, avec les mesures prises.

 

Daniel Aloterembi

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